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La liberté
Toi la liberté me vois tu souffrir ?
Toi la liberté es-tu si libre ?
Tiens une envie indicible de te conquérir
Pourquoi pas trouver cet équilibre.
Je ne te demande pas de me chérir
Ni de me donner gagnant à chaque instant.
Je te propose juste de m'épanouir
Ainsi te devancer en mon temps.
Afin d'aimer mon prochain
Pour s'approcher du divin
Me tendras tu la main ?
Quand dans les moments d'un demain
Tu m'apporteras ce dont j'ai besoin
Faut il encore le mériter
N'est ce pas là le secret à vérifier
Bien sûr je me battrais pour en prendre soin
La liberté es-tu si libre ?
Quand mes yeux vibrent
Pour toi dans ton indépendance
Cela n'es-il pas une naissance
S'habiter à toi est un défi
Qui ne laisse aucun répits
Crois tu en la Providence ?
Quand moi je doute de cette évidence
Ne faut il pas oser, oser
Pour pouvoir te dire que je suis avec toi
Car sans toi on ne peut qu'être arrosé
Et ainsi grandir son moi
Je devine des histoires folles
Soyons dans cette vie plus rock-en-roll
Peut-être pourrons nous alors t'aimer
Sans jamais oublier à t'assumer
Oui la liberté est une aubaine
tu es le Sacré
Dans ce monde glacé
Mais tu nous réchauffes aussi les veines
Et nous accorde des droits
Pour nous permettre d'être à l'endroit
Là où on doit se trouver
Pour vivre au milieu d'un moment retrouvé.
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La Vie – Mode d'emploi
Réparer des hommes brisés?
L'enjeu de ce jeu est de taille!
Mais pour autant que vous sachiez
Voir la Vie, sans dénie, sans faille,
D'un humour plus humoristique,
En pensant, - oui! ça se travaille… -,
Que votre cœur, en mosaïque,
Devient un splendide vitrail!
Vraiment, tout n'est-il pas question
Uniquement du point de vue
Que l'on accorde à sa raison
Dans la plus honnêteté nue,
Du poids que nous mettons aux choses
En nous limitant nos moyens,
Quand le Bonheur en overdose
Ne peut que vous faire du bien!
On peut oublier le passé
En lui donnant moins d'importance.
Un simple secret révélé:
Tout s'acquière dans la patience!
Ainsi quoi de mieux que l'école,
Pour rassembler tous les morceaux
De l'existence, vôtre et folle,
Que vous auriez mise en lambeaux…!?
L.
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Le pouvoir de la liberté,
C'est le cœur,
L'enfer, à côté,
N'est rien qu'un homme sans cœur.
On se met à nu,
Pour, enfin, être libre,
Pour tenir l'équilibre,
Sans perdre la raison de nos vues.
Croire à la vie,
C'est aimer son prochain,
La seule raison de garder la main
Et d'honorer l'essentiel qu'on vit.
Car oublier l'autre,
C'est ne pas être,
Et surtout ne plus fuir
Devant la bataille et s'enfuir.
Oui, faut croire en soi,
Dépasser ses effrois,
Oublier ses émois,
C'est l'unique voie.
Oui, l'unique voix
Qui doit raisonner,
Et faire de nos froids
Une terre abandonnée.
Quitter les chagrins,
Suivre son chemin,
Sans oublier de porter son voisin,
Sans jamais dénigrer l'humain.
Les enfants de Dieu,
La terre, notre lieu,
A préserver, s'il vous plaît,
L'avenir de nos enfants est en jeu.
Aujourd'hui; me seul enjeu
Qui doit devenir le vœu
De nous tous
Et l'espérance de chacun.
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T'es parti si loin de moi,
Pourtant, je suis si près de toi,
Que ma vie est devenue un enfer,
Que je dois, quand-même, vivre sur cette terre.
A me demander pourquoi?
A faire n'importe quoi,
Je ne sais pas si tu me vois,
Je ne préfère pas savoir, tu vois.
Car, quand j'y pense,
La honte pèse sur moi,
M'aveugle encore plus dans l'immense,
Cette immensité noire qui est devenue ma loi.
Tu me dirais sûrement le contraire,
Parce que tu m'aimes,
Mais, même tes mots n'apaiseront pas ma peine.
Et tous ces actes odieux dont je veux m'extraire.
Non, jamais mes crimes trouveront une légitimité,
Puis, tu sais, pour moi, vivre c'est subir,
Et supporter ces jours qui, peut-être, devront venir,
Oui et accepter les horreurs de mon intimité.
Effectivement Papa, ce qui est fait est fait,
Cela n'empêche pas que je t'ai trahi,
Et me suis déshonoré avec mes méfaits,
Comment puis-je, aujourd'hui, me dire c'est fini.
Puis, passer à autre chose,
Quand la force est si loin de mes bras,
Comment espérer te rejoindre là-bas,
Avec fierté et dignité sans que mes pleurs n'explosent.
Et te regarder dans les yeux,
Et enfin, se retrouver nous deux,
Je ne peux tellement j'ai mal,
De vous avoir fait à tous si mal.
On verra bien quand le jour viendra,
Quelque chose peut-être existera,
Pour que je puisse te regarder,
Et, enfin, me dire, c'est terminé.
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Femme, vous ne m'avez jamais compris
Et de ce fait vous m'avez tout pris
Tout ce en quoi je croyais
A la beauté de l'amour qu'en vous je voyais
Des années sont passées sans vous
Jusqu'à m'en faire si mal
Qu'aucun remède en plus à votre absence je l'avoue
N'apaise mon mal
Et pourtant je vous aime toujours
Comme au premier jour
Avec l'espoir de te rencontrer
Car finalement t'es mon seul projet
Ne te demande pas pourquoi
Si tu n'es pas venu à moi
Nos routes ne se sont pas croisées encore
Et je n'ai toujours pas caressé ton corps
Tu veux savoir comment c'est possible
Pose-toi la question impossible
Car à ce moment je n'étais pas disponible
Et aujourd'hui encore je suis indisponible
Qu'est-ce qui fais que?
Je n'ai pas de réponse
Toujours dans la défonce
PAS CELLE QUE TU CROIS, si bien que...
Je n'en pas la nuit
Subir ce tonnerre de bruits
Puis un jour les mots que j'aimerai entendre
Qui iraient droit dans mon coeur me surprendre
D'un tel bonheur
S'estomperaient alors mes pleurs
S'ouvrirait mon coeur
D'ou jailliraient les fleurs
De la joie d'être amoureux
Ou mes yeux vivraient dans tes yeux
Au milieu du hasard désiré
Dans l'ivresse d'une étreinte sublimée
Offrant à nos désirs
L'accueil de nos plaisirs
Vivant ou survivant
Fini le néant.
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