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Le pouvoir de la liberté,
C'est le cœur,
L'enfer, à côté,
N'est rien qu'un homme sans cœur.
On se met à nu,
Pour, enfin, être libre,
Pour tenir l'équilibre,
Sans perdre la raison de nos vues.
Croire à la vie,
C'est aimer son prochain,
La seule raison de garder la main
Et d'honorer l'essentiel qu'on vit.
Car oublier l'autre,
C'est ne pas être,
Et surtout ne plus fuir
Devant la bataille et s'enfuir.
Oui, faut croire en soi,
Dépasser ses effrois,
Oublier ses émois,
C'est l'unique voie.
Oui, l'unique voix
Qui doit raisonner,
Et faire de nos froids
Une terre abandonnée.
Quitter les chagrins,
Suivre son chemin,
Sans oublier de porter son voisin,
Sans jamais dénigrer l'humain.
Les enfants de Dieu,
La terre, notre lieu,
A préserver, s'il vous plaît,
L'avenir de nos enfants est en jeu.
Aujourd'hui; me seul enjeu
Qui doit devenir le vœu
De nous tous
Et l'espérance de chacun.
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T'es parti si loin de moi,
Pourtant, je suis si près de toi,
Que ma vie est devenue un enfer,
Que je dois, quand-même, vivre sur cette terre.
A me demander pourquoi?
A faire n'importe quoi,
Je ne sais pas si tu me vois,
Je ne préfère pas savoir, tu vois.
Car, quand j'y pense,
La honte pèse sur moi,
M'aveugle encore plus dans l'immense,
Cette immensité noire qui est devenue ma loi.
Tu me dirais sûrement le contraire,
Parce que tu m'aimes,
Mais, même tes mots n'apaiseront pas ma peine.
Et tous ces actes odieux dont je veux m'extraire.
Non, jamais mes crimes trouveront une légitimité,
Puis, tu sais, pour moi, vivre c'est subir,
Et supporter ces jours qui, peut-être, devront venir,
Oui et accepter les horreurs de mon intimité.
Effectivement Papa, ce qui est fait est fait,
Cela n'empêche pas que je t'ai trahi,
Et me suis déshonoré avec mes méfaits,
Comment puis-je, aujourd'hui, me dire c'est fini.
Puis, passer à autre chose,
Quand la force est si loin de mes bras,
Comment espérer te rejoindre là-bas,
Avec fierté et dignité sans que mes pleurs n'explosent.
Et te regarder dans les yeux,
Et enfin, se retrouver nous deux,
Je ne peux tellement j'ai mal,
De vous avoir fait à tous si mal.
On verra bien quand le jour viendra,
Quelque chose peut-être existera,
Pour que je puisse te regarder,
Et, enfin, me dire, c'est terminé.
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Femme, vous ne m'avez jamais compris
Et de ce fait vous m'avez tout pris
Tout ce en quoi je croyais
A la beauté de l'amour qu'en vous je voyais
Des années sont passées sans vous
Jusqu'à m'en faire si mal
Qu'aucun remède en plus à votre absence je l'avoue
N'apaise mon mal
Et pourtant je vous aime toujours
Comme au premier jour
Avec l'espoir de te rencontrer
Car finalement t'es mon seul projet
Ne te demande pas pourquoi
Si tu n'es pas venu à moi
Nos routes ne se sont pas croisées encore
Et je n'ai toujours pas caressé ton corps
Tu veux savoir comment c'est possible
Pose-toi la question impossible
Car à ce moment je n'étais pas disponible
Et aujourd'hui encore je suis indisponible
Qu'est-ce qui fais que?
Je n'ai pas de réponse
Toujours dans la défonce
PAS CELLE QUE TU CROIS, si bien que...
Je n'en pas la nuit
Subir ce tonnerre de bruits
Puis un jour les mots que j'aimerai entendre
Qui iraient droit dans mon coeur me surprendre
D'un tel bonheur
S'estomperaient alors mes pleurs
S'ouvrirait mon coeur
D'ou jailliraient les fleurs
De la joie d'être amoureux
Ou mes yeux vivraient dans tes yeux
Au milieu du hasard désiré
Dans l'ivresse d'une étreinte sublimée
Offrant à nos désirs
L'accueil de nos plaisirs
Vivant ou survivant
Fini le néant.
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Où sont les mains que j'aimerai tant?
Celles qui me diront qu'elles m'aiment,
Celles qui caresseront ma peau à temps,
Avant que je n'aie plus envie de dire je t'aime.
Oui, je ne veux plus attendre,
Où sont les mots tendres?
Ceux que j'attends si impatiemment,
Ceux qui, enfin, me donneront vie infiniment.
Qui peut vivre sans l'amour?
Et supporter toute une existence,
Moi, je n'en veux plus de ces carences,
Trop besoin d'aimer chaque jour.
Laissez-moi rêver pour deux,
Car, seul, je ne suis rien,
Je veux la voir même que je ferme les yeux,
Et partager avec elle tous les riens.
Mes attentes ne flirtent-elles pas avec le légitime?
Quand chacun et chacune ont ce désir,
N'est-ce pas être vivant de vivre ces sourires,
Cela même qui immortalise l'amour en hymnes.
Non, je sais, je ne suis pas seul,
Il me reste la solitude,
Cette maudite complice, si rude,
Que je n'en dors plus seul.
Je veux voir le meilleur des ailleurs,
Celui qu'on partage à deux,
Qu'on fait à deux,
Pour qu'enfin, s'arrête le train de la peur.
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Ma solitude, tu t'es adressé à moi,
Avec tes mille facettes,
Parfois douces, parfois dures,
Mais je garderai de toi, la solitude.
Elle a été, pour moi, l'affront,
Qui a marqué mon front,
Avec toutes ses douleurs,
Avec toutes ses douceurs.
Mais, sache que tu m'as libéré souvent,
De pensées qui m'ont désarmé,
Et, quelque fois, qui m'ont armé,
Pour vivre les vicissitudes du temps.
Tes voyages m'ont amené aux quatre coins du monde,
Sans jamais avoir pris ni bateaux, ni avions,
Mais, sache que, dans toutes ces rondes,
J'ai dansé au milieu de la forêt avec les lions.
Tes pensées, elles m'ont égaré et m'égareront encore,
Me tourmenteront aux confins de la tourmente,
Ainsi, me montreront les lois qui régissent mon corps,
Quand viendra le jour de ma mort.
Et oui, encore une fois, je serais seul, ma solitude,
Pour aller célébrer, le cœur en fête,
L'autre vie que tu proposes en tête-à-tête,
Oui, avec toi, je ne regrette rien, ma solitude.
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