• Interprétation du poème de William Ernest Henley

    Je suis le maitre de mon destin

    Je suis le capitaine de mon âme

     

    Aux années passées dans le noir

    J'ai toujours gardé espoir

    Ma lutte restera irréversible

    Au creux de ma conviction armée que d'un possible

     

    J'ai lutté corps et âme

    Sans jamais être blâme

    Je fus et resterai sur le devant de la scène

    Même enfermé entre quatre murs, je fus le mécène

     

    Ou ont jalonné mes 27 années de captivité

    Rien ni personne ne m'obligera

    Soutenu par un peuple sans relâche d'une telle aura

    Je finirai par gagner face à l'hostilité

     

    Au nom de quel pouvoir?

    Peut-on privé un homme de sa liberté

    Quand c'est pour des raisons malsaines

    Mais cette cause, je la parraine

     

    Et cela jusqu'a la mort

    S'il le faut sans trembler

    CAR CE QUI EST JUSTE AUJOURD4HUI ET DEMAIN JUSTE ENCORE

    Ne cessons pas de nous battre jusqu'a être étrangler

     

    Et vivre dans ses retranchements

    Les plus secrets, les plus intimes

    Aucun feu de déracinement

    M'imposera sa loi, je suis la victime

     

    Aujourd'hui libre a jamais, c'est mon droit

    Aujourd'hui libre a jamais, c'est mon devoir

    Je suis le maitre de mon destin

    Je suis le capitaine de mon âme.


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  • Entre dans la danse

    D'un consommateur de substances

    Dites légales ou illicites

    Pour rejoindre cet état duplicite.

     

    Histoire de connaitre ce couloir

    Qui ne s'arrête qu'à l'espoir,

    Celui qui donne un peu de rêves,

    Celui qui apporte une trêve.

     

    Dans un monde

    Où les conflits

    Nous inondent

    Les cœurs et les esprits.

     

    Leurs apportant la clé de l'innocence,

    Pour retrouver quelque part l'enfance,

    Ces moments de légèreté et d'insouciance,

    Afin de vivre un peu d'espérance.

     

    Que cette vie permet de vivre,

    Et non plus de survivre,

    Car sans ça autant abandonner

    Et vagabonder dans l'animosité.

     

    Suivre ce chemin

    De la haine

    Pour mourir dans le néant

    D'une vie hautaine.

     

    Continuer à croire

    La dureté d'une existence

    Qui ruisselle dans l'illusoire

    Et finit avec persistance.

     

    Dans la violence,

    Alors qu'aimer

    Est l'essence

    Même d'une vie parrainée.

     

    Par l'envie d'imaginer,

    D'espérer, de rêver,

    Vaincre la solitude

    Et oublier de néfastes attitudes.


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  • J'ai rencontré mon cœur

    C'est enfin mon heure,

    Se sont arrêtés les pleurs,

    Maintenant, c'est que du bonheur.

     

    Je danse avec vous jusqu'aux aurores,

    J'ai découvert mon trésor,

    Il peut m'emmener où il le veut,

    Je n'ai plus peur qu'il pleuve.

     

    Habiter dans cette maison,

    C'était ma seule raison,

    Est venue la belle saison,

    Quel merveilleux son.

     

    Les pleurs se sont évanouis,

    Je ne suis plus endormi,

    Que le réveil est doux,

    Dans l'oubli des remous.

     

    La vie est une aventure,

    A la démesure

    De la beauté de mère nature,

    A Dieu et sa juste mesure.

     

    Vivons ensemble la vie,

    Gens de tous horizons,

    Partageons cette grâce inouïe

    Aux promesses de ce bond

     

    Qui nous amènent au partage du pain,

    Aux oublis des frontières,

    A l'appel des délices de cette prière,

    Partageons l'inespéré gain.

     

    L'essentielle cagnotte offerte par Dieu,

    Retrouvée aux précipices du cœur,

    Nous amenant au plaisir des rires,

    A l'appel du partir.

     

    Au loin dans l'au-delà,

    Avec un peu de peine,

    Mais sans tristesse car là-bas,

    Les âmes sont reines.


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  • Est-ce toi, mon cœur?

    Est-ce toi, Dieu?

    Qui me porte là-bas,

    Là où, au fond de moi, je dois aller.

     

    Dans ce pays merveilleux,

    L'unique évidence de la vie,

    Certes, ce chemin est caillouteux,

    Mais, ô combien beau, dans cet infini.

     

    Le seul espace temps qui, peut-être, nous est réservé,

    Accordez-moi ce doute vers ce bel inconnu,

    Vous que je cherche, vous que j'ai peut-être vu,

    Merci pour tous les plaisirs que vous nous accordez.

     

    Danser avec vous est un privilège,

    Participer, avec autrui, à ce cortège…

    Quelle chance inespérée,

    Une grâce de mère nature généreusement accordée.

     

    Alors, profitons, je vous en conjure,

    Ne lui faisons pas injure,

    Car, je vous le jure,

    C'est la plus sublime des confitures.

     

    Ne gâchons pas cette offrande,

    Elle est la plus grande

    Que nous pouvons avoir,

    Peut-être, que nous pourrons voir.

     

    C'est ma vision,

    Elle est, peut-être, qu'une illusion,

    A chacun de partager son pain,

    Moi, c'est mon chemin.


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  • A mes amours morts

    Qui ne sont jamais nés,

    Loin maintenant jetés,

    Plus de regrets de mon corps.

     

    Passer à autre chose,

    Fini l'overdose,

    Juste le parfum des roses

    Qui m'arrose enfin, je me pose.

     

    De nouveau la raison,

    Je suis à la maison

    Près d'un feu de cheminée,

    Le bois peut se consumer.

     

    Maintenant, apprécier les couleurs du ciel,

    Après la pluie, l'arc-en-ciel,

    La douceur du miel,

    En moi, la vie s'éveille.

     

    Un tête-à-tête,

    Un mot qui se répète,

    L'amour,

    Qui voit le jour.

     

    Je pense à elle,

    Celle qui sera mon soleil,

    A laquelle fidèle,

    Mes sentiments toujours en éveil.

     

    La chérir jusqu'à l'aurore,

    Les bougies comme décor,

    Faire vibrer nos corps,

    Chaque nuit, nos corps à corps.

     

    Pour s'aimer au-delà,

    Pour aller là-bas,

    Chanter nos joies,

    Aux sources de nos ébats,

    Aux cris de nos éclats,

    A nous, notre loi.


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